Votre maman ne comprend pas que vous soyez inquiet·e lorsqu’elle ne vous rappelle pas. Et quand ce n’est pas votre maman, c’est votre frère avec qui vous vous disputez sur ce qui est bon pour elle… En famille, les discussions peuvent parfois tourner au vinaigre. Dans ces situations, la «Communication Non Violente» (ou CNV) peut aider à apaiser les tensions.
Formidablement expliqué dans cet article de « Bonjour Fred » (Média positif qui vous aide à prendre soin de vous et de vos proches). Pour retrouver l’intégralité de l’article, c’est ici.
Quand on a été aidant, quand on est aidant d’un parent qui perd son autonomie mais garde une partie de sa lucidité, comment ne pas se projeter dans ce film et ressentir le désarroi ce ce fils dévoué? Pourtant, le film ne se réduit pas à cela, et ce qui se passe et s’exacerbe dans ces moments de fin de relation. Il évoque toute la palette des sentiments qui colorent une vie : les relations parents enfants, la famille, la nature, l’amour et la perte de l’amour.
Quand la coupe est pleine, on a parfois besoin de vider son sac. « Bonjour Fred« , média positif dédié aux Aidants nous parle de ce réseau d’entraides proche de chez vous.
Et il est souvent plus simple de parler avec des inconnu(e)s qui vivent une situation similaire qu’avec ses proches. Alors que diriez-vous d’un petit café entre aidant(e)s ?
Les Cafés des Aidants sont des lieux et des temps d’information destinés à tou(te)s les aidant.e.s, quels que soient l’âge ou la pathologie de leur proche. Ces rencontres sont gratuites, et sont animées chaque semaine ou chaque mois par des travailleurs sociaux et des psychologues autour d’une thématique qui varie : on peut par exemple aborder la culpabilité, le handicap, ou encore les gestes de soin.
Ces cafés réunissent généralement une petite dizaine d’aidant(e)s, souvent des habitué(e)s. La première fois, on peut être déstabilisé(e) de (…) Pour lire la suite
Dans un climat général plutôt marqué par l’incertitude, comment se donner les meilleures chances d’appréhender la rentrée de manière sereine ? Back to basics, rappel de quelques fondamentaux….
Inspirer, expirer : travailler sa respiration !
Bien souvent, lors de périodes un peu agitées ou chargées, on se surprend « en apnée », le ventre gonflé et l’esprit obnubilé par une idée qui tourne et retourne dans la tête. Il me semble indispensable de savoir – ou de se rappeler – que le lâcher-prise commence par des exercices respiratoires. Bien respirer peut vraiment avoir un impact immédiat sur le corps et sur l’esprit, un réel apaisement instantané.
Petit exercice de respiration hyper simple
Expirer sur 3 temps
Bloquer sur 3 temps
Inspirer sur 3 temps
Bloquer et ainsi de suite, 3 fois de suite.
Quand le mouvement est maîtrisé, vous pouvez tenter d’allonger les cycles.
10 minutes par jour suffisent
Bien respirer doit devenir une petite routine. D’ailleurs, elle constitue l’échauffement de sports doux tels que le yoga, le pilâtes, ou autres dérivés d’arts martiaux asiatiques tels que le Gi-Gong et bien évidemment, la méditation.
En complément à cet exercice de base, il faut parvenir à canaliser son esprit pour rester attaché, ancré, dans le moment présent, ne pas ressasser le passé ou se soucier de ce qui pourrait arriver. Travailler l’ »Ici et maintenant »… Facile à dire…
Soyons honnêtes : on a rarement une passion innée pour le rangement ou le repassage. Or quand on aide son proche, les tâches ménagères se multiplient comme des petits pains. Alors pour gagner du temps et s’alléger l’esprit, on est allé chercher des solutions du côté d’un concept qui commence à faire parler de lui : le minimalisme.
Moins on en a, mieux on se porte
Les dressings qui débordent pêle-mêle. Les soirées passées à ranger. Les bibelots qu’on époussette aujourd’hui, et bis repetita demain. Les chaussettes perdues ou encore les achats en triple… Face à l’encombrement des objets qui nous entourent, le minimalisme propose de mettre de l’ordre dans tout ça pour se concentrer sur l’essentiel. Il vise aussi à se débarrasser du superflu. Ses bienfaits sont connus :
On fait des économies en n’achetant que le strict minimum,
On voit sa charge mentale diminuer depuis que chaque objet à sa raison d’être,
Et on se libère du temps pour des activités qui nous ressourcent vraiment.
Isabelle et moi avons souvent eu des discussions autour des « choses de la vie » : la famille, la carrière, les loisirs, les amis, les projets. Elle était à mes côtés quand la maladie a frappé maman. A l’époque, nous travaillions ensemble et elle était aux premières loges de mon désarroi. Elle a été une présence indéfectible et une oreille attentive et bienveillante… Ce sont des choses que l’on n’oublie pas.
Aujourd’hui, elle vit une situation similaire. Elle a accepté de nous faire partager cette expérience, au travers de son analyse et de ses ressentis. Elle pose des mots directs et clairs sur sa situation d’aidante en se livrant avec sincérité sur une situation à la fois universelle et personnelle : accompagner son parent dans la maladie.
Je la remercie du fond du cœur de ce témoignage intime.
Aidant familial, une vocation ? Devient-on aidant.e ou naît-on aidant.e ?
Le collectif « Je t’aide – Journée nationale des Aidants » a initié la rédaction de ce plaidoyer en janvier 2020 . Soit juste avant le début de la crise sanitaire du COVID-19. Les témoignages datent de ce “monde d’avant” le confinement.
Les aidants en première ligne
Les aidant.e.s ont été en première ligne pour permettre de faire de la place dans les hôpitaux au début de la crise. Pendant le confinement, alors que les intervenant.e.s à domicile, les professionnel.le.s de l’accompagnement, les infirmier.e.s, étaient indisponibles, ce sont les aidant.e.s qui ont pris le relais.
Pour beaucoup d’entre eux.elles, la crise a considérablement augmenté le poids de l’aide prodiguée. L’analyse des impacts a déjà été lancée dans une étude, pour recueillir “à chaud” leur témoignage .
Le besoin de répit qui est le cœur du sujet de ce plaidoyer, est plus que jamais urgent. Pour le lire, rendez-vous sur ce lien
Dans la tribu des fileuses, ….je demande la fille ! J’ai le grand plaisir d’avoir interviewé Camille, ma fille, à la fin du confinement. Nous avions commencé à discuter de sujets un peu sérieux, comme la carrière, les millénials, l’environnement. Je lui ai demandé si elle acceptait que j’en profite pour la citer dans mon blog. Car après tout, quel meilleur « Filentrenous » que celui d’une mère et sa fille….
En quoi te sens tu une Fileuse ?
Je suis une vraie fileuse, le lien je le crée, je l’entretiens, c’est comme ça, aussi bien dans ma vie personnelle que dans ma vie professionnelle. A 28 ans, j’ai toujours bien sûr mon amie d’enfance, puis mes amies rencontrées en études secondaires. Quant à mon réseau professionnel, j’ai déjà mon petit carnet d’adresses ! Je travaille à l’export, je voyage beaucoup. Je participe à de nombreux salons professionnels, donc par définition, beaucoup de rencontres. Bien évidemment, il est important de soigner ses relations de travail, mais j’avoue que c’est avec naturel, spontanéité et réel plaisir que je considère cet aspect de mon travail. En plus, garder le contact est vraiment facilité par les réseaux sociaux.
Relève de la garde
Je vis à Londres depuis 3 ans. Ma famille et mes meilleur amis sont en France. Il est primordial, que dis-je, vital pour moi de garder le lien, et qu’il soit le plus incarné.
L’an dernier, à l’occasion de la journée nationale du sommeil, une étude a mis à jour un constat assez préoccupant : en France, la durée de sommeil quotidien est passée en dessous de la barre des 7 heures. En cause, l’attrait des écrans, le bruit, les trajets quotidiens, la porosité vie privée-vie professionnelle, le tabagisme… Plus récemment, la crise sanitaire, le confinement, l’anxiété liée, les nouveaux modes de vie (télétravail, école à la maison,….) ont fait exploser le nombre d’insomniaques ou de sommeils perturbés.
En quoi, un bon sommeil est-il si important pour la santé ?
Ce déclin du sommeil se fait au détriment de notre santé, alertent des médecins de l’agence sanitaire Santé publique, car le sommeil joue un rôle majeur sur le bon fonctionnement de notre organisme. Il est même considéré comme le premier médicament naturel : Il permet de stimuler les défenses immunitaires, de régénérer les tissus ou de consolider les apprentissages de la journée. Pour les enfants, il permet également de grandir. Or, en moyenne,